Suite et fin des poèmes présentés au lavoir de la rue St Malo à l’occasion du lancement des poétickets en février dernier.
Ô le grand amour perdu !
Quand le linge est suspendu,
On entend la mélopée
De la chaussette isolée.
Dans le bassin du lavoir, un quatrain écrit à la craie (pas très visible sur les photos):
Ce sauvage pédiluve
En remontre à l’océan
Aucun nageur imprudent
Ne se hasarde en sa cuve