Pantalonnades

Quatre poèmes sur pantalon, suspendu à l’occasion du lancement des poétickets au lavoir de la rue St Malo en février dernier.

Une muse tantôt qui me tenait la jambe
A voulu qu’impromptu je composasse un iambe

*

Celui que j’habillais n’était pas un fantoche
Il conservait toujours trois euros dans sa poche

*

On vit sans y penser on meurt en pantalon
Ni le genre en smoking ni parfait Apollon

*

Le dimanche au bistrot je loge un animal
Qui se sent sale et beau dans un ancien futal

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