Un poème qui chausse du 46

empreinte2empreinte3empreinte 4empreinte 5empreinte 6empreinte 1

De la naissance au trépas
Sur le chemin qu’on emprunte
On voudrait bien n’être pas
Le cœur gros ni l’âme empreinte

De tristesse, ni l’orteil
Qui grattouille et nous démange
Mais c’est tous les jours pareil
C’est le destin qui nous mange

Quelque ailleurs où nous allons
Il a, monstre épouvantable
L’estomac dans les talons
Et ne quitte pas la table

Ce contenu a été publié dans Poèmes objets. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *